Décembre 2006 - Concours de Nouvelles

Comme annoncer, c'est le temps de sortir vos talents d'écrivain! Un concours de nouvelles... Encore dirons certains!

Mais bon, ce n'est pas un simple concours de nouvelles... J'y ajoute un petit quelque chose pour notre beau mois de décembre... Vous me voyez venir hein? Votre histoire devra avoir une petite touche de magie du temps des fêtes, histoire de fêter Noël jusque dans notre bel univers de Warhammer ... Bien sure, il faut rester dans le contexte de cet univers de warhammer battle...

Pour les notes:

1-Orthographe /5 : Ne partez pas en peur, ce n'est pas un travaus scolaire, c'est pourquoi je met qu'un maigre 5 PTS ici... C'est surtout les fautes de frappe et grossières auxquelles j'aimerais vous sensibiliser... Non pas les accords ou règles plus complexes de notre langue française!

2-Originalité /5 : Faut pas tomber dans le plagia, le déjà vu ou le prévisible...

3-Respect du thème /5 : Assurez-vous de respecter les conditions demandé et vous aurez quelques points faciles...

4-Personnages /5 : Description des personnages, originalité des personnages...

5-Style /5 : Il faut du style dans un bon texte... Métaphore, comparaison originale, écriture dynamique...

6-Dénouement /5 : Une bonne fin surprenante et inattendue est de mise!

8-Intérêt /10 : Histoire accrocheuse? Il faut nous donner envie de tout lire, de ne pas s'arrêter ou sauter quelques lignes...

9-Vote des membres du forum /10 : une fois de plus, la moyenne des votes des membres... Envoyé en MP pour éviter les engeulades et protestation ou influence...

Total sur 50...

Bonne chance à tous! Inscription jusqu'au 20 décembre!

On a le droit d'inventer une fête ressemblant à Noël mais qui n'apparaît nulle part?

Changer le nom tu veux dire?

Pour vu que les principe reste les même... Cadeau, déco... Je crois bien que ça le fera

Moi ca m´intéresse.

Le concours se passe jusqu´a la St-Sylvestre ?

Jusqu'au 20, c'est écrit un peu plus haut

Ensuite c'est les votes

dommage qu'il faille autant justifier les vote,c'est ennuyant et fatigant,faudrais pouvoir voter juste par ce que l'on aime bien,sans justifier plus que ça.enfin,c'est une marque de sécurité je pense que notre modérateur ultime a ses raisons

le tableau des votes est pour le juge... Les membres intéressés à voter peuvent m'envoyer leur appréciation seulement, sur 10, pour chaque participant...

je m'inscirrais bien...allez je me relance un peu dans ce forum..(pas mal la déco!!)

au faite...
c'est pour quand que l'on doit avoir fini la nouvelle?

Pour le 20 decembre, je vais peut être participer, enfin si j'ai le temps.

moi je ne participe pas, noël ne m'inspire pas trop...

par contre, si personne d'autre ne se propose, je veux bien faire le juge (sauf s'il faut quelqu'un de plus ancien sur le forum...)

voila ma participation,par contre c'est du récit narratif (c'est ce que je préfère faire)

tradition gobeline
la neige tombait en flocons épais sur le vieux monde.les animaux hiberne,les humain se blottissent près de leurs cheminée et les nains au fond de leurs mine.tout est inerte.tout ?
non,les gobelin eux,se préparent a célébrer la célèbre fête de la lune floue,qui célèbre la naissance de gork et mork,mais aussi,la première apparition de la lune dans le ciel bleuté de la nuit.
dans leurs sombres cavernes,les gobelins installent un énorme champignon et le décore avec des babioles naine,comme un casque au sommet,des petites haches,des barbes,des broches ou des pièces d'armure.des guirlandes sont accrochées au portes et au plafonds.ces guirlandes sont généralement constitué de champignons fluorescent ou de croissants de lune doré.les plus riches (les plus voleurs quoi ) suspendent des gemmes arraché au casques des elfes.
sur la cheminée son suspendus des bonnets de gobelins de la nuit,et a midi,ils seront remplis de champignons confit ou sucrés.
pendant cette journée,on veille taux le jour pour manger,comme le veut la tradition,a midi,un énorme squigs des cavernes roti,et fourré au délicieux champignons,le tout,généreusement arrosé de bière (de champignon).
la bière la plus recherché pour cette occasion et sans nul doute la bière de champignons collet doré,réputé pour ces fines bulle,et se qualité narcotique encore plus que les autres bières.vous pouvez donc difficilement imaginer le souk d'une telle soirée.après cette amusé toute la journé,les gobelins vont se coucher,et,le landemins matin,ils trouvent de magnifique cadeaux au pied du champignon.les tête et les barbes de nains sont les plus courant,mais les presse champignons a manivelle pour toute les bonne ménagères gobeline ne sont pas mal classé non plus.
cependant,le dilème est "qui apporte ces présents a tous les gobelins qui ont été assez vilain ?". la réponse se trouve loin,tout au nord dans les terres glacée de désolations du chaos.en effet,la bas se trouve une immense caverne ou toute l'anné règne une activité sans faille.
c'est une énorme fabrique commandé par le "grand pére gobelin" qui,grace a un procédé encore inconnus,devine le souhait le plus cher de chaque gobelin.après ce,les snots se dépêchent de le fabriquer,ou,s'il n'est pas fabriquable,d'aller le chercher. c'est ainsi que,pendant un an,la fabrique est en activité.après ce délai,la cargaison est chargé sur un traineau ensorcelé,tiré par les célèbres sept squigs du grand père gobelin
. le grand père gobelin s'envole ensuite pour offrir a tous les gobelins qui ont été suffisamment méchant,sournois,voleur et mesquin dans l'année,un somptueux cadeau.ceux qui ont été gentils (ce qui est heureusement trés rare) ,reçoivent la visite du beau frère au grand père gobelin,le terrible beau frère gobelin,qui enlève les gentils gobelins et les "dépose" dans une forteresse naine,assommé,prés a être accueillis comme il se doit par des nains enragé.
tel est le terrible destin des gentils gobelin,dans la plus secrète des traditions gobelines.

Le Gobelin Nowël

Dans un brouillard hivernal, alors que le froid balayait les visages penauds des gobelins de la tribus des Yeux Rouges, deux pestes vertes se faisait face dans un duel peu esthétique, puisque saccadé et ralenti par le froid intense... L'un des combattants était nul autre que le chef de la tribus, le petit Big Bubba. Une autre tentative de trahison, une de plus, comme si ce dernier en avait besoin.

Son Chamane l'avait bien prévenu que le voyage serait long et périlleux, qu'il mettrait le courage de ses troupes à fort épreuve... Le courage gobelin étant ce qu'il est, il n'avait pas fallu attendre longtemps pour assister à une véritable débandade de maladresses et de mutineries... Heureusement, lorsque le chef ne dénichait pas les traîtres et les conspirateurs à l'avance, il les avait, jusqu'à maintenant, tous désarsonnés au combat... La tribus de Big Bubba, depuis qu'il en avait prit le contrôle, n'avait jamais été en aussi piteuse état, mais il ne pouvait reculer, il devait retrouver ce trésor...

Quoiqu'il en soit, ce coup-ci, le gobelin qui l'avait bravement défié d'un coup de poignard mal placé dans le dos, était particulièrement corriace, mais d'un habile revers de son arme, Big Bubba mît finalement un terme au combat, aidé quelque peu par les sorts discrets de Norktra'Damus, son fidèle et surtout, loyal chamane. Il ordonnât alors à son clan de reprendre la route, et de s'enfoncer encore davantage dans les deserts glacials des Landes chaotiques du Nord qui les entouraient à perpétuité... abandonnant ainsi le derniers rebel à une mort lente...

Après plusieurs heures, l'exilé regagnât ses esprits... Il eût peine à se lever, ses jambes étaient gelées et même ensevelies sous la neige. Un mal de crâne lui tappait à l'intérieur du crâne, lui rapelant sans cesse son amère défaite. Puis la neige, qui bordait le côté droit de son corps engourdi, rougissait à vu d'oeil par le sang qui s'écoulait toujours de sa plaie... «La neig'... Les blizzards... L'Boss'... L''mal d'krân'... La neig' roug'... J'krois k'c'est une mauvaise journée!» Le gobelin, malgré le froid et la douleur, se dégageât péniblement de sa prison naturelle, puis commençât à tituber au gré des bourasques, dans un direction hasardeuse, laissant derrière lui un épais souvenir de son passage, par une traînée de sang bien vite estompée par les tempêtes inscessantes.

Suite à quelques minutes incalculables de marche, le gobelin tombât à genoux, épuisé par l'effort, glacé par le froid, affaibli par sa blessure, quand soudain, au loin, il apperçût une pâle lumière rouge se promener... «V'la ty pas Gork ki vient m'chercher... Pas trop tôt... Y'en a marr' de...» La créature verte se vît alors brutalement interropût par une perte de connaissance.

Au bout de plusieurs heures encore, le gobelin revînt à lui une fois de plus, lentement. Surpris. Se demandant où Gork était passé, pourquoi avait-il toujours aussi mal au crâne... Ouvrant péniblement les yeux, il vît une fois de plus le ciel blanc des Landes nordiques, qui crachait toujours cette infâme grêle. Plus il reprenait ses esprits, plus le gobelin se demandait quand son calvaire prendrait fin. Au moins, il n'avait plus froid... Plus froid? Peut-être était-il plutôt complètement gelé. Peut-être qu'il ne le sentait tout simplement plus se froid maudit... Pourtant, il pouvait sentir ses muscles bouger, Plus il bougeait, plus il semblait se sentir mieux même. Puis d'un seul coup, le paysage immaculé semblât prendre une teinte rougâtre. Il tounât la tête puis, sursautant, apperçu trois énormes loups couché à ses côtés, l'un d'entre eux, celui qui le fixait, avait le bout du museau qui luisait d'un rouge inexplicable, éclairant les alentours...

Le gobelin se levât alors doucement, prudemment... Les loups l'imitèrent, mais ne semblaient guère hostiles, pas même attirés par le sang qui s'échappait toujours légèrement de sa plaie. N'ayant rien à perdre, le gobelin s'approchât alors du loup au museau rouge, puis tentât de le monter. La bête, d'une docilité parfaite, se laissât faire, baissant même les hanches pour faciliter la manoeuvre. Une fois bien installé sur sa nouvelle monture, celle-ci se mît en route, sans consigne aucune, comme si elle devait ou savait où amener le gobelin...

Pendant la route, le gobelin remarquât un collier au coup de sa monture, ne contrôlant guère où il allait, il prît alors le temps d'y jeter un oeil. Une inscription en lettre d'or y était gravé soigneusement. «Ruk'dolf... C'est ton nom? Ruk'dolf? Mouais, ça doit être ça! Ho ho! Ruk'dolf au nez rouge! Ho ho! Ça m'plait à moi!» Puis, commençant à se détendre un tant soi peu, le gobelin se laissât conduire en toute quiétude...

Les conditions météorologiques rigoureuses du désert nordique étaient bien moins capricieuses à dos de loup, et surtout, l'avancée bien plus aisée. À l'horizon, une gigantesque ombre commençât à se dessiner patiemment. Les contours devenaient peu à peu perceptible, laissant croire à une immense bâtisse... Une stucture étrange, sombre et basse... Arrivé tout près, le loup s'arrêtât. le voyage venait de prendre fin. Le gobelin mît alors pied à terre, puis s'approchât des murs de l'enceinte. Les parois étaient glacées, comme du métal, du métal noir, aussi noir que la nuit. Il marchât un peu, intrigué, contournant l'édifice, suivi pas à pas par les loups...

Le gobelin figeât brusquement lorsque le lupus au museau rouge se mît à hurler. La créature verte fît volte-face promptement, et apperçût les loups blancs assient. Hurlant encore. Toujours. Le gobelin s'approchât alors d'eux, puis inspectât les parois glacées auxquelles les loups faisaient face, tassant la neige de ses mains meurtît par le froid. Il découvrît alors un rune gravé au mur, une rune qui lui était parfaitement inconnue. Il la frottât, la frappât, sans succès, rien ne se passait... Il continuât alors à décoller la neige aux parois, un peu plus vers la droite. Lorsque la lumière du museau rouge du loup frappât la rune, l'éclat rouge semblât se réfletter dans tous les cieux pendant un bref moment, pour ensuite laisser un sourd bruit grincer longuement, laissant ainsi un étroit escalier apparaître... Le gobelin se rapprochât de l'entré, regardant les loups descendre habilement le couloir...

Le gobelin, tiraillé entre la peur et la curiosité, décidât de s'engager à son tour dans l'escalier, avant que la lumière rouge du loup ne cesse d'éclairer les sombres lieux complétement... Suivant aveuglément la lueur rouge, il s'aventurât au gré des couloirs, ne sachant ce qui l'attendait, quand il apperçût finalement ce qui semblait être l'arche d'une vaste pièce... Il précipitât le pas, la curiosité prenant de plus en plus le dessus...

La pièce était éclairé par une multitude de cristaux suspendus, ceux-ci semblaient refléter la lumière du museau rouge partout. Les yeux du gobelins s'arrondir de gourmandises lorsqu'il apperçût toutes les armes qui ornaient les murs de la gallerie. Il courrût les examiner. Les lames étaient étincelantes, imprégnés de la même glyphe qu'il avait vu plus tôt à l'extérieur... Des armures... Des casques... De tout, il y avait toutes les armes et armures que l'on pouvait imaginer, et toutes étaients d'une légèreté et robustesses hors du commun. Le gobelin s'approchât alors de l'endroit ou les loups des neiges avaient été se coucher... Un énorme drappé rouge et soyeux dormait sur une stucture qui semblait imposante. Le petit peau verte déshabillât délicatement l'objet, pour y découvrir un magnique chariot, d'un rouge et noir neuf, comme s'il n'avait jamais été utilisé... Pourtant, les loups semblaient bien connaître l'objet.

Lorsque le gobelin se mît à toucher l'habitacle du chariot, le Loup au museau rouge se levât, puis se dirigeât vers un autre couloir, assombrissant la pièce plus il s'éloignait. Le gobelin s'empressât alors de le suivre à nouveau, pour déboucher, cette fois-ci, dans ce qui semblait être un large bureau. Le plafond était orné des même cristaux qui propageaient la lumière du loup parfaitement... Les murs étaient complétement cachés par d'immenses bibliothèques demesurées et remplies de vieux parchemins poussiéreux... Un petit squelette reposait sur un imposant trône de bronze, face couché sur une table toute aussi massive. Le gobelin levât la dépouille, une longue barbe noire était toujours accrochée à la machoire du crâne, sans nul doute un nain... Un nain du chaos, ce qui expliquerait toutes les inventions étranges qu'il avait pu appercevoir dans la grande pièce. «C'est c'k'on appel ce tuer a la tâch'! Ho ho!» Après avoir jeté un bref coup d'oeil sur les plans et esquisses qui polluaient le bureau, l'attention du gobelin se portât vers une chic armoire derrière le trône.

Il y découvrît, en ouvrant doucement les portes, la garde-robe personnel du défunt propriétaire. De riches, soyeux et chaud vêtement... «Final'ment, p't-etre ke j'vais pouvoir arrêter d'me les g'ler dans c'blizzard pourri!» Le gobelin enffilât alors une épaisse robe rougâtre, ornée de chaude fourrure de loup blanc et possédant une toute aussi chaude capuche... «La class'... La tronche ki f'rait big Bubba si y m'voyait! Ho ho!»

Le loup se remît alors en marche, menant le gobelin au fil des couloirs à nouveau... Il débouchât, cette fois, sur une autre escalier, descendant encore plus profondement et débouchant sur une lourde porte de bronze. Une intense chaleur se dégageait de l'autre côté de celle-ci, le gobelin poussât la poussât alors soigneusement, pour y découvrir une forge au dimension quasi infini. Il n'avait jamais rien vu de pareil, Il ne pouvait arriver à voir la fin des lieux. Une quantité incroable de squelettes dormaient ici aussi. Non pas de nain cependant, plus probablement de gobelins... voir d'hobgobelin.

Le gobelin ne savais pas du tout ce qui s'était passé ici, mais l'endroit lui plaisait. Le loup finît par ramener le peau-verte à la pièce centrale, où il se réinstallât près du chariot. Le gobelin regardât tout autour, puis un mesquin sourire s'esquissât sur son cruel visage perfide. «C'est le temps d'se venger! Ho ho ho ho ho! Hoooo ho ho! Moui! C'est l'heure!» Il commencât alors à charger l'arrière du chariot d'une multitude d'armes magiques, tout ce qui lui semblait être dangeureux et puissant. Une fois terminé, il attelât les loups au chariot, puis à peine eût-il le temps de s'installer que les loups se mirent à courir vers un autre chemin, empruntant une pente ascendante qui les menât sur le toit, d'où ils s'élencèrent, malgré les rétisences et les manoeuvres du conducteur gobelin, vers le néant...

C'est alors que, au moment même où le petit être vert allât paniquer, un étrange méchanisme se déployât de sous le char, une multitudes de petites hélices tournoyaient à toute vitesse, permettant à l'attelage et au char de rester surpendu, comme par magie, dans les airs. Le gobelin se mît à rire de son rictus si particulier, puis fonçât vers le sud, comme s'il savait soudainement où aller.

Dans la nuit, après quelques brèves minutes seulement, il arrivât à un campement, par le désordre des tentes, il faisait nul doute que c'était un campement gobelin... Le gobelin rouge descendît alors de son chariot, doucement, sans faire de bruit, puis allât placer toutes les armes et armures qu'il avait amenées dans les tentes des gobelins. Une fois la tâche accomlie, il souriât, satisfait, puis repartît dans les cieux, en riant... «V'là un p'tit kek chose ki d'rait faire plaisir a ce cher Big Bubba! Hoooo hooo hoo!»

Le lendemain, à l'aube, les troupes de Big Bubba se levèrent. Le chef ordonnât à ses troupes de démonter sans tarder le campement pour se mettre en route. Il commençait à être pressé par le temps, il n'avait toujours pas trouvé son trésor, et surtout, il savait très bien, qu'une fois de plus, son éternel rival, Konark, devait lui aussi se rapprocher du but... Le clan des Yeux Rouges marchât donc jusqu'à la lune, où le froid commaçât alors à s'intensifier et les obligeât ainsi à s'arrêter pour monter leur bivouac... À peine eurent-ils le temps de commencer à s'installer, que Big Bubba entendît des bruits au loin. Comme une armée en marche. N'y croyant pas, fou de rage, il beuglât l'alerte, en se demandant comment Konark, tout aussi gobelin que lui, arrivait à se déplacer sous une température aussi froide. Puis, il vît alors la troupe de celui-ci déferler, arborant de magnifiques et étincellantes armures, ainsi que de prestigieuses armes. Avait-il déjà mît la main sur le trésor? Tout portait à le croire...

Le combat fût bref, comme si les gobelins de Konark étaient tous dotés d'une force et agilité inexplicable. Dans le tumulte, Big Bubba parvînt tout de même à s'enfuir, avec une poigné de gobelins alliés. Cherchant désespérement à se rallier et à se sortir de cette impasse, le chef des Yeux Rouges tournait en rond, cherchant à comprendre, lorsque, soudain, il apperçût une vive lueur rouge voler dans le ciel glacial. Suivi d'un long rire qui lui était familier... « Nowël? C'est Nowël! J'aurais du l'broyer plutôt k'l'abandonné pour mort! Maudit sois-tu! Je sais k'c'est toi l'reponssable! J't'aurai! J't'auraiiii Nowël!»

C'est ainsi que la légende du Gobelin Nowël nacquît... On raconte que, à la même date de chaque année, celui-ci apporte armes et armures magiques à de multiples tribus peaux-vertes, qui, au fil de l'année, ont causé problèmes et malheurs à son ancien chef Big bubba...

Voili voilou, une petite participation... Le thème était plus difficile que je l'aurais cru Mais bon, je crois m'en être sorti de façon pas trop mal...

J'ai tout de même opté pour un style différent qu'à mon habitude, moin d'action et de comédie M'enfin, j'espère que ça vous plaira tout de même!

noter qu'il vous reste 3 jours pour participer...

Kurnous, je note ton nom pour juger tout ça en temps voulu selon les critères Tu es cuit maintenant, je ne te lâcherai plus

Ca, c'est du genre particulier....

Ah! ah! J'ai bien l'impression que ça ne t'as pas plus toi

Y a pas de mal L'important c'est de participé comme on dit... Moui bon c'est un cliché de perdant, mais bon... euuuh... je me barre

Quoi? Mais si j'ai aimé!
Ahlalalalalalalallalalalalala, c'est pa croyable... pourquoi les gens cherchent tout le temps à voir un message caché dans chaque mot?...

Ah ah! ne le prend pas mal... (Quoi, c'est à moi qui fallait dire ça?)

T'inquiète je n'était pas offensé, je croyais seuleemnt qu'il y avait un brin, ummmm, comment dire... d'hésitation dans la phrase

D'ou le plaisir de communiquer de vive voix, l'intonnation permet une meilleur symbiose et lecture du sens d'une phrase

Bref, content donc d'avoir pu te divertir

elle est super cette nouvelle.je vais voter pour toi tien

Bon... je vais enlever ma candidature, j'aurais pas le temps de finir ma nouvlle

Dernière journée? Meuuuh oui! Deux participants, vous en resterai pas là? Si?

Non, j'ai une histoire en tête. Je la posterais...

Moi aussi, je me dépèche de la terminer et je la poste avant 0h00.

Wadjinka

-Chef Wadjinka! Une caravane au nord!
Wadjinka se leva d'un bond. Les visiteurs étaient rares en cet oasis. Le dernier était un pilleur de tombes imprudent. Wadjinka esquissa un sourire en se souvenant de la dernière fois qu'il l'avait vu: poursuivi par la cavalerie morte de Khemri, il courait à perdre haleine, le visage exprimant une intense folie interne. Quand donc ces étrangers comprendront que l'on ne retire aucun bienfait à chercher noise à ceux-qui-ne-dorment-jamais?
Ceux-ci semblaient différents. Il s'agissait d'une seule et unique roulotte, tirée par des chevaux en nage, avec un conducteur serein. Un énorme tonneau était posé sur une charrette, derrière le tout.
-Bienvenue à vous à l'oasis de Kanionka, fit la sentinelle avant que le chef n'arrive. Pour quelle raison vous aventurez-vous en ces lieux?
-Je ne resterais sans doute guère longtemps, répondit l'homme qui conduisait la roulotte. Je ne cherche qu'à refaire le plein d'eau pour continuer ma traversée.
L'homme avait un visage plutôt triangulaire, avec le front plat et un menton pointu. Une couleur de peau pâle prouvait qu'il n'était pas d'ici, et ses vêtements hurlaient à quel point il était ignorant de ce qu'il fallait faire afin de survivre dans ces contrées. Un chapeau de paille était négligemment incliné sur son oreille gauche, et il avait un manteau qui aurait sans doute été plus utile dans les terres du nord. Wadjinka supposa qu'il devait se sentir bien dedans quel que soit la saison.
-Vos réserves d'eau... c'est ce tonneau? demanda-t-il.
-En effet.
-Vous vous promenez dans ce désert depuis combien de temps?
-Oh, une bonne semaine.
-Et vous avez déjà tout épuisé? Mais vous êtes combien la-dedans?
-Moi, ma femmes, mes bambins, un arbre qu'ils ont tenu à emporter, ainsi que mes chevaux. Ce sont eux qui boivent le plus.
-Je serais vous, je prendrais des chameaux.
-Ma femme déteste entendre blatérer des chameaux.
-Vous mettez en survie en jeu à cause d'une question de bruit?
-Maintenant que vous le dites, c'est vrai que cela fait stupide.
-Nous avons des marchands de chameaux dans le coin. Vous devriez pouvoir négocier un échange.
-J'y vais de ce pas, répondit-il, et c'est ce qu'il fit aussitôt.
Wadjinka eut les moyens de s'occuper en attendant. La femme était du genre têtu, et il fallut lui trouver une pléthore d'arguments afin de lui faire comprendre qu'elle pourrait survivre à la nuisance sonore, mais pas à la carence d'eau. Il put aussi discuter avec elle, afin d'apprendre d'où est-ce qu'ils venaient, pourquoi ils étaient dans ce désert, etc...
Il apprit ainsi qu'ils venaient d'un coin situé au sud du Moot, où nul ne venait leur chercher des ennuis. Apparemment, ils appartenaient à l'Empire, mais l'influence était bien faible en ces lieux. Malgré tout, ils recevaient des nouvelles, et Wadjinka apprit que la situation était calme comparé à d'habitude. Un chef de guerre orc appelé Brusfok avait rassemblé une petite armée et voulait s'en donner à cœur joie, mais il n'était pas particulièrement dangereux. Les hordes du chaos se tenaient curieusement à carreau, le duc Balthazar de Bretonnie avait déclaré à la guerre au baron Aristote D'Appenois du même pays, à cause d'une relique, les broutilles habituelles, quoi. Il y avait une curieuse agitation palpable au niveau de la Lustrie -des soldats qui commencent à faire des incursions- mais à part ça, tout allait bien.
Ils venaient ici pour retrouver la trace d'un membre de la famille qui avait disparu sans laisser de traces, d'après ce qu'elle disait. Wadjinka supposa qu'il y avait anguille sous roche. Que venait faire les enfants ici, alors?
Comme si cette pensée les avait rappelé à la vie, ils se manifestèrent bruyamment à l'intérieur de la roulotte. La mère se précipita à l'intérieur avec le père qui était revenu avec des chameaux en un état qui laissait à désirer, mais c'était surprenant qu'il ne soit pas sorti avec des chameaux décrépis. Le marchand était plutôt rude en affaires.
-Mamaaaaaan! J'veux qu'on rentre à la maison! brailla un petit.
-Mais oui, mon chou: on rentreras dans quelques mois.
-Mais maman, glapit un autre, il neige pas ici. On veut rentrer maintenant!
-Et pourquoi donc faudrait-il qu'il neige aujourd'hui? demanda le nomade.
-A cause de la fête, répondit la mère. Ce soir, il faut célébrer une fête, et d'habitude, on la célèbre dans la neige. Et dans le froid.
-Oh, le froid, ça ne devrait pas poser de problème. La nuit, il fait aussi froid qu'il fait chaud la journée. Mais vous m'étonnez: je ne me souviens pas que les Empiriens célèbrent quoi que ce soit en ce moment.
-Nous ne sommes pas empiriens. Nous avons une coutume, dont l'origine se perd dans la nuit des temps, qui fait qu'aujourd'hui, les enfants se retrouvent autour d'un feu de camp et reçoivent des cadeaux des adultes.
-Nous avons une coutume un peu similaire, acquiesça Wadjinka, mis à part le fait que les enfants échangent des cadeaux et n'en reçoivent pas de leurs adultes.
-Chef, l'avertit une sentinelle, il semble qu'il va pleuvoir.
-Est-ce si important de le noter? releva la mère, amusée.
-Plutôt, oui, approuva le seigneur des nomades. Vous avez sans doute remarqué qu'il pleut plutôt rarement dans ce désert. Quand il pleut, ce sont souvent d'énormes averses, aussi brèves que dévastatrices.
-Je ferais mieux de faire rentrer les enfants.
-Vous ne vous rendez pas très populaire. D'abord, vous les emmenez en plein milieu du désert à une époque où ils souhaitent de la neige, puis vous leurs interdisez de voir le jour... ils vont sans doute bouder très fort.
Elle poussa un soupir retentissant et un peu tragique et se dirigea vers la roulotte.
Wadjinka repensa un peu à tout cela. Les enfants n'étaient vraiment pas gâtés. Sans nul doute auraient-ils voulu faire la fête avec leurs amis d'enfance, avec une flopée de cadeaux venant de partout, une magnifique ambiance neigeuse, bref, tout ce qu'il faut pour être heureux en cet instant. Il décida d'aller en toucher un mot aux nomades du campement. Peut-être auraient-ils une idée.
Une agréable surprise attendit les enfants. L'averse prévue ne se déclencha que très tardivement, et la température était très basse, de sorte que ce ne fut non pas une averse mais un blizzard qui s'abattit sur le campement. Lorsque il se leva, quelques flocons de neige tombaient encore et le sol était couvert d'une pellicule d'au moins un pied de hauteur de poudreuse.
Qui plus est, un feu de bois avait été dressé un peu en retrait du campement et tout les hommes étaient là, les mains remplies de présent, et les enfants croulèrent sous les cadeaux.
Le lendemain, Wadjinka discuta avec les parents et leur révéla qu'un tel blizzard était très rare, seulement une fois tout les dix ans. Quand aux bambins, ils dirent "n'avoir jamais passé un meilleur Noël de leur vie". Noël? Ce nom faisait penser quelque chose à Wadjinka, mais il n'aurait su dire quoi....

Le bon vieux Santa

La nuit était froide, mais il était impossible de laisser ses muscles se refroidir. Un infime déplacement d’air informa le seigneur nain Santa L’écarlate, de l’imminence de l’impact d’une hache d’acier corrompu, sur sa nuque. Santa eu tout juste le temps de pivoter pour parer de son bouclier l’attaque du colossal guerrier du chaos. Ce dernier, perturbé par la réaction du nain n’eu pas le temps de refrapper de sa hache massive, il fut frappé par Barazantatul, la hache runique de Santa l’écarlate, cette dernière fendit la lourde armure du nordique comme s’il s’agissait de papier. Enfin débarrassé de ce groupe de guerriers, le seigneur nain regarda par-dessus la muraille de la citée, l’armée d’Asavar Kul s’étendait plus loin que l’horizon, cela faisait seulement 14 jours qu’ils étaient arrivés à Praag et ils avaient perdu bon nombre des leurs. Nous étions durant l’hiver 2302, l’époque que nous vivions fut surnommée par les hommes : La Grande Guerre, l’armée du chaos avait portée son assaut sur la ville de Praag il y a 3 mois. Le Haut Roi avait mobilisé un Throng important pour porter secours aux troupes impériales, dont le moral était au plus bas. Le seigneur Santa était parmi les premiers nains à prendre position sur les murs de la citée, chargés de reprendre le mur Nord aux démons de Khorne. Santa L’écarlate était de forte stature, avec une tendance à l’embonpoint, sa généreuse barbe blanche trahissait son age vénérable de 458 ans, il arborait fièrement son armure de gromril finement ouvragée, sa légendaire hache, Barazantatul et son bouclier runique. Il était si orgueilleux et avare qu’il gardait jalousement son or et ses paroles, refusant même de s’incliner en présence du Haut Roi. Mais il était un guerrier de renom, aux prouesses dignes des Dieux Ancêtres, et de ce fait sa présence fut inestimable dans la reprise du mur de la ville aux mains des chaotiques.
Un cor résonna en bas du mur, une horde de démons était parvenue à passer les défenses, massacrant tout mortels assez fou pour se mettre sur leur chemin. Santa grommela quelques insultes en Kazalid, cela faisait cinq heures qu’il se battait, et qu’il n’avait rien mangé, pire encore sa gourde de bière avait été pulvérisée par les mâchoires d’un chien de Khorne. N’en pouvant plus, il se jeta dans la mêlé avec une fureur qui n’avait d’égale que sa soif. Chacun des arcs de cercles décrit par sa hache, pourfendait une de ces abominations, puis, aidé de sa garde personnelle, et d’un contingent d’hallebardiers impériaux, ils repoussèrent les démons hors du mur. Son instinct le poussa à se précipiter sur le mur près de la Grande Porte de Praag, après avoir occis quelques adorateurs du chaos il trouva le Haut Roi au prise avec un gigantesque démon ailé. Celui ci devait bien faire plus de quatre fois la taille du nain, et ses ailes s’étendaient, plus noire que la nuit, semblant atténuer la lueur des incendies. « Enfin un adversaire digne d’intérêt » maugréa Santa, sans aucune hésitation il se lança à l’assaut de ce Prince Démon, les runes de Barazantatul brillants avec une intensité grandissante.
Mais à peine était-il arrivé à proximité de l’ennemi, que celui ci le frappa du tranchant de son immense épée. Santa réagit promptement et para de son bouclier l’attaque, mais l’impact fut si puissant que le bouclier se brisa, et le seigneur nain fut projeté contre le sol. Il laissa échapper un chapelé de jurons, prit sa hache à deux mains, puis reprit le combat avec le Haut Roi. Durant de longues minutes le démon tenu les deux puissants nains en échec, ce qui commençait à passablement énerver Santa, apercevant une faille dans la défense de son adversaire, il s’éllanca en hurlant : « Que je devienne généreux si le Haut Roi le découpe avant moi ! ». La seule réponse qu’il obtenu fut un monumental poing noir dans sa figure, Santa fut projeté contre le mur, l’impact contre celui ci fut terrifiant, produisant le son d’un immense marteau frappant une enclume. Santa ne dut la vie sauve qu’à la prodigieuse résistance de son armure, mais perdit connaissance, du sang coulait de son crane.
Il ne reprit connaissance que plusieurs mois après, dans un lit douillet chez lui à Karaz-a-Karak. Les médecins lui expliquèrent en détail les événements qui séparaient sa perte de connaissance à son réveil, l’arrivé de l’armée de Magnus, celle des Elfes de Teclis, la gigantesque bataille qui s’en suivit, la mort d’Asavar Kul et la défaite des forces du chaos. Il découvrit les ravages que la Grande Guerre avait causée, la moitié de ses fidèles guerriers avaient rejoint les ancêtres, l’Empire qu’il avait pour mission de préserver vivait dans une misère indescriptible, seul les nobles et l’empereur Magnus avait le privilège de dormir sous un toit.
Rapidement il fut convoqué par le Haut Roi en personne, au cour d’une entrevue privée, même les fidèles marteliers de la garde personnelle ne furent autorisés à être présent. Accablé par le silence pesant qui régnait dans la salle du trône, Santa ne ravala cependant pas sa fierté de nain et s’attendait à entendre son vénérable seigneur le tarir d’éloges pour son comportement héroïque. Mais il n’en fut rien, le Haut Roi, ne prononça qu’une seule phrase lourde de conséquence : « Il m’a semblé vous entendre jurer que vous alliez vaincre ce démon avant moi, mais comme vous aviez décidé de piquer un petit roupillon j’ai dû occire cette monstruosité chaotique seul. ». Ecrasé par le poids et la sonorité grave de ces paroles, Santa perçu immédiatement ce que le Haut Roi désirait, ce dernier mettant un point d’honneur à ce que les nains respectent les serments proférés. Santa dû se résoudre à respecter sont serment, et c’est ainsi que pour la première fois de sa vie il offrit (à contrecœur certe) une superbe armure à un simple artisan dans le besoin, durant une froide nuit d’hiver. Sa popularité augmenta du jour au lendemain, des rumeurs selon lesquelles un riche nain à la barbe blanche distribuerai des cadeaux d’une valeur inestimable. Mais le Haut Roi ne fut pas convaincu par la sincérité de Santa, il lui demanda de réitérer son ‘exploit’, c’est ainsi que l’année suivante Santa se mit à offrir des cadeaux, cette fois-ci à tous les habitants d’un humble hameau près de Nuln. Durant cette nuit neigeuse, Santa désira ne pas se faire remarquer par les humains qui vivaient là, toute la distribution se fit dans la plus grande discrétion, seul un jeune enfant qui passait par-là, aperçu un personnage rondouillard tout de rouge vêtu et portant une généreuse barbe blanche déposant des cadeaux somptueux devant chaque maison. Depuis ce jour, tous les enfants de l’Empire se tiennent sage en attendant que le vieux Santa reviennent les couvrir de cadeaux. Ce qu’ils ne savent pas, c’est que le vénérable Santa est forcé par le Haut Roi de recommencer chaque fin d’année, en souvenir du serment prononcé sur les remparts de Praag, et comme la fortune de Santa est colossale ce dernier peut se permettre d’offrir des cadeaux pour encore de nombreuses années…