VOTE du concour de nouvelle de Novembre

Voici les histoires :

Celle de Pakacuti :

Reglement de compte

Enfin!!!!Pakacuti Imperator attendait ce jour depuis si longtemps.Son armée était en face de celle de son pire ennemi :Shael.
Ses troupes étaient encore une fois inférieur en nombre mais la différence était moins flagrante que lors de leurs dernier affrontement.
Shael défendait encore une fois son campement contre l'ost de Pakacuti mais cete fois la bataille aura lieu sur une plage et les hommes lézards auront a se battre sous les tirs des balistes a répetition.Mais son ost avait augmenté en taille et en puissance :Pakacuti avait cete fois a sa disposition de la cavalerie saurus ,un stegadon,des salamandres,des guerrier saurus ,des skinks,des kroxigors et des teradons sans oubliers ses heros skinks :2pretres et un tupac .Du haut de sa colline il voyait le campement druchii et sa tour de guet ou l'on voyait une silhouette vêtu d'une cape.

Shael ,du haut de sa tour d'observation ,passait en revue le placement de ses troupes.IL avait du ruser pour prendre le commandement de cette nouvelle expédition.Son seigneur ne voulait pas lui en donner le commandement étant donné qu'il avait échouer la premiere fois,alors Shael a organiser l'assassinat de tous ceux qui se proposaient pour rapporter l'artefact de toute les convoitise,en effet celui qui ramenerai l'objet au roi sorcier se verrait attribuer de grandes richesses et de grand privilèges mais cela n'attirait plus Shael ,lui il voulait se venger de ce guerrier saurus qui lui a causé sa perte la derniére fois.Une fois tous les prétendant tués son seigneur n'eut d'autre choix que de lui laisser prendre la tete de cette expédition.Celle-ci étaient composée de lancier , de beaucoup d'arbalétrier,d'une unité d'executeur,une de furie,des chevaliers sur sang-froids,des corsaires et des balistes.Il allait défendre sa plage et laisser les assault de Pakacuti se briser sur ses murs d'infanterie Alors que toutes ses armes de tir feraient feu en permanence,noyant les hommes lézards sous une pluie de projectile.Le seigneur Shael a amené avec lui 3 puissantes sorcieres qui empecheront les vents de détourner les carreaux d'arbaléte.Il voyait d'ici les arbres remuer sous l'effet des vents provoqué par ce guerrier saurus.Shael ne voulait qu'une chose : tuer de sa main ce Pakacuti!!!!

Le jour se levait et les soldats hommes lézard prirent place sur la plage :L'affrontement allait commencer.
Pakacuti Imperator donna l'ordre d'attaquer.

Les saurus s'élancèrent sur la plage accompagnés des salamandres .Les druchii répliquèrent en fesant pleuvoir des projectiles allant des carreaux d'arbalète aux sort des sorciere en passant par les traits de balistes a répétition.La plupart des projectiles furent détournés par la tempête qui accompagne habituellement Pakacuti Imperator,mais les sorcière dissipérent ses effets et les saurus commencérent a subir des pertes
Les saurus engagérent les lanciers et les frappèrent en pleine charge ,causant énormément de perte du coté druchii.Les salamandres se mirent a cracher leurs acide sur une autre unité de lancier ,transformant les premiers rangs en bouillie avant que les terribles prédateur ne se jette au combat.Mais les elfes se défendait bien et tenaient leurs positions.
Pakacuti Imperator ,voyant que les lanciers ne fuiraient pas ,dirigea sa paume gauche vers l'unité de lancier ,Sa camée se mit a briller d'une lueur violette...
Les lanciers se mirent a entendre comme des murmures qui devinrent rapidement des plaintes déchirante qui les firent paniquer et ils prirent leurs jambes a leurs cou,poursuivit par les saurus qui préferèrent bientôt charger les arbalétriers

Les salamandres fesaient des ravages dans les rangs des lanciers mais ceux-ci les repoussèrent finalement,et elles se firent charger ensuite par l'unitée de furie qui les mirent rapidement en piéce.Mais celles-ci firent une erreure : trop excitées à l'idée d'anéantir les salamandres,elles n'avaient pas remarquées l'unité de saurus mené par Pakacuti.Ceux-ci les chargérent immédiatement de flanc.

Pakacuti Imperator se jeta a corps perdu dans la mélée,s'enfoncant en tranchant tout sur son passage dans les rangs des furies plus loin que les autres saurus.Maintenant entouré de furies il allait pouvoir se lacher...
Sa pupille viollette se mit a briller de plus en plus intensément au fur a mesure que l'excitation du combat le gagnait.Des elfes noirs,ca fesait si longtemps qu'il n'en avait pas tués....
Pakacuti Imperator se mit a executer une danse du combat a la vouge double,arme difficile a maîtriser,Les corps commencaient a s'amonceler.Une furie tenta de le frapper mais le kuraq kaq stoppa son élan en coupant sa lame au dessus du paumeau avant de trancher le visage magnifique.
"Trop fragile,elles sont bien trop fragiles...Où est tu Shael ,toi seul est un adversaire honorable,je veux me venger!!!"
Cinq ou six furies tentaient de le frapper en même temps,sans succés,soit leurs coups étaient parés par le puissant saurus soit ils étaient stoppés par de puissantes bourrasques.Pakacuti Imperator les abbataient toutes une par une.Une fois entourés de cadavres et voyant que ces guerriers saurus ne tuaient pas les furies aussi rapidement que lui il decida d'accélérer les choses....
Le joyau incrusté dans sa paume gauche se mit a briller alors qu'il la dirigeait vers un groupe de furie qui se dirigeaient vers le kuraq kaq,et lorsque la camée émit un flash violet, les furies furent éventrés par les pics éoliens invoqués,ceux ci firent des ravages dans les rangs serrés des épouses de Khaine.Une furie tenta une attaque dans son dos,mais elle ne le toucha jamais car elle fut plaquée au sol sous le poids d'une chose invisible ,ses os se mirent a craquer alors que son crâne éclatait et que son corps s'enfoncait lentement dans le sol.D'autre furies tenterent de franchir le systeme haute pression invoqué par Pakacuti Mais le kuraq ,ainsi protégé,était invulnérable a toute les attaques physiques et il pouvait maintenant lancer autant de sort qu'il voulait sans être dérangé.A présent il massacrait les furies en les éventrant avec des pics éoliens ou en les tranchant en deux avec des lames de vents,tout en restant a l'abri de tous danger
"Je les finies et je vais te chercher Shael"
Soudain,Une furie se jeta sur lui : Le systeme haute pression avait été dissipé!!!!!Pakacuti Imperator n'avait pas le temps de parer le coup.Ca camée se mit a briller.La furie eut juste le temps de voir l'être réptilien devant elle s'évanouire comme un nuage de fumée avant de frapper du vide.Le kuraq kaq se trouvait dérriere elle!!!!
La camée "oeil du cyclone" confere a Pakacuti Imperator la capacité de se changer en vent,lui permettant ainsi de se déplacer a trés grande vitesse sur le champ de bataille.
Pakacuti Imperator saisit la furie et s'en servit comme bouclier contre une trés belle druchii uniquement couverte de parure en or:la matriarche.Celle-ci n'hésita pas une seconde : elle se jeta sur le kuraq kaq en hurlant le nom de son dieu.Pakacuti Imperator se projeta en arriere alors que la matriarche enfoncait ses deux lame dans le corps de la furie"bouclier"
"Elles n'hésite pas à tuer leurs soeurs pour gagner un duel,ces furies sont folles,et celle ci mérite un traitement de faveur..."
La matriarche,couverte du sang de sa soeur,était en train de dégager ses dagues du corps éventré lorsque Pakacuti se jeta sur elle,la plaqua au sol et immédiatement aprés lui plaqua sa paume gauche sur le front,la furie eût juste le temps de distinguer dans la gemmeune tornade tourner de plus en plus vite...
La tête de la matriarche explosa lorsque la camée lacha la puissance de l'éliocanon.
Les derniéres furies venaient d'être abbatues.
Khaine était veuf.

Pakacuti Imperator lanca une lame de vent en direction de la foret et lanca un ordre a ses saurus,encore nombreux,celui de charger les éxecuteurs...
Les prêtre skinks pouvaient de nouveau lancer leurs sorts de la lisiere de la jungle depuis la mort des sorcieres et essayèrent de stopper la charge des chevaliers sur sangs froidsmais ils ne purent les empecher de charger les flancs des saurus de l'Imperator.Ceux ci subirent de lourdes pertes sur le coup mais cela fesait partie du plan...
De terribles rugissements se firent entendres de la jungle alors que la cavalerie saurienne et les kroxigors chargeaient les flancs des chevaliers Druchii,ceux ci ne purent résister au terrible impact et furent écraser sous les armes des massifs kroxigors malgré la résistance de leurs armures.
Aprés avoir exterminés les chevaliers druchii,la cavalerie saurus chargea les arbalétrier devenu inutiles depuis la mort des sorcieres alors que les kroxigors aidaient les saurus a tuer les éxécuteurs.

OHOH
Pakacuti Imperator venait d'abbatre son quatorzieme ou quinzieme éxecuteur "c'est trop facile"pensa t-il comment de si pitoyables adversaires pouvaient espérer tuer un maître d'arme comme lui,armée de la merveilleuse double vouge de Tepok.Pakacuti Imperator esquiva un coup de taile du porte étendard druchii avant de lui couper le bras a la hauteur de l'épaule,l'étendard vacilla mais plusieurs éxecuteurs tentérent de la maintenir droite,Pakacuti Imperator trancha la hampe et le symble de Khaine tomba au sol.Les éxecuteur reculerent,effraiyé mais l'un d'eux resta immobile et lanca un défi au kuraq kaq.Pakacuti accepta d'un signe et le décapiteur,champion des éxecuteurs,se jeta sur lui .D'un geste nonchalant ,Pakacuti fendit l'air entre lui et son adversaire de sa vouge et le Druchii retomba au sol ,tranché en deux par la lame de vent.Les autre éxécuteurs ,devant ce spectacles, prirent leurs jambes a leurs cou.

Désolé, j'ai voté sans le faire exprès, sans avoir lu les nouvelles
Il faudra enlever une voix à Packacuti.
Encore désolé, c'est à cause de mon ordi et de ses touches qui restent enfoncées toutes seules.

La mienne :

Yeurl para avec aisance la botte qui était destinée à lui couper la tête. Sa riposte vint s’écraser sur le bouclier de Khalek. Celui-ci répliqua à son tour d’un coup d’estoc qui aurait coupé le dynaste en deux si celui ci n’avait pas esquivé avec une adresse surhumaine le coup meurtrier. Yeurl, d’un vicieux revers, envoya l’Urathein de son conseiller dans les airs. Celui-ci, désormais désarmé, fit signe d’abdiquer, faisant taire sa fierté et son orgueil pour allonger sa vie.
Le seigneur de Clar Karond, un sourire aux lèvres, lui fit signe que le duel était désormais clôt. D’un air désinvolte, il donna sa draich à l’elfe noir le plus proche qui s’empressa de la ranger soigneusement dans le ratelier d’arme personnel du Druchii.

Alors que Khalek délestait le dynaste de sa pesante armure, défaisant un à un tout les composants de la cuirasse de métal, un esclave humain arriva en courant, un message a la main. Il s’arrêta devant Yeurl, s’agenouilla et lui tendit sans un mot le parchemin cacheté de cire.

Yeurl sortit son coutelas de sa manche et défit soigneusement le sceau du message. Il le déplia et le lut. Son visage passa presque immédiatement au rouge sombre, signe évident que le message devait comporter quelque chose de grave.

"Qui te l'a donné ?" demanda-t-il aussitôt à l'esclave toujours incliné dans une position de soumission. Celui-ci, conscient que quelque chose n'allait pas, lui donna immédiatement un nom, un seul "Grandis" ...

Yeurl relut le message d'un air anxieux. Si ce noble ne se taisait pas immédiatement Yeurl était mort. Il lança à l'humain d'un son venimeux :"Pitoyable épave. Va me chercher Osion immédiatement ou tu regretteras d'être né ! L'humain aquiesça d'un signe de tête et partit silancieusement chercher l'assassin. Une voix venant de derrière lui le fit soudainement se retourner. A sa grande surprise, Osion était déjà là, preuve de son talent d'infiltrateur et d'assassin du culte.

Il prit la parole et lança à Yeurl d'un air narquois "Pourquoi me veux tu ?"
Yeurl un sourire mauvais barrant son visage lui répondit : "J'ai une mission pour toi, j'y mettrais le prix." Osion répondit simplement d'un signe de tête et partit laissant Yeurl et Khalek seul à seul ...

Osion était déjà habitué à ce genre d'infiltration depuis son enfance. Durant la nuit des supplices, il fut enlevé à ses parents par les furies qui firent de lui un assassin au service du Roi Sorcier.
Il ne leur en voulait pas, il savait maintenant qu'il faisait partie des plus redoutables guerriers Druchii. Se tapissant dans l'ombre ses victimes ne décelaient sa présence que lors de leur agonie.

Aujourd'hui son rôle était de pénétrer dans la demeure d'un seigneur elfe noir, Grandis, qui fit l'affront de s'opposer à Yeurl. Son employeur ne pouvait se permettre un tel écart, il ordonna ainsi a Osion de régler cette fâcheuse affaire. Voilà la raison pour laquelle Osion se retrouvait en cette sombre soirée au pied de la demeure du fautif. La nuit était épaisse. Un temps idéal pour un meurtre dans les règles de l'art, pensa l'assassin.
Les deux gardes elfe noir postés devant la porte d'entrée ne virent qu'une gigantesque ombre fondre sur eux. Dans un mouvement fluide qui cachait une réelle puissance, l'assassin égorgea les deux druchii.
Les cadavres tombèrent à terre dans un bruit sourd. Osion traîna les corps dans l'ombre. Cette attaque ne dura que quelques secondes et se déroula dans un pesant silence.
D'habitude Osion aurait pris la place d'un garde et serait aller tuer le seigneur déguisé. Mais il voulait mettre un peu de difficulté et de fantaisie dans cet assassinat.
Il fit le tour de la demeure jusqu'à trouver une fenêtre ouverte et non éclairée. Il trouva cela à la fois étrange et facile, ce qui ne l'empêcha pas de franchir le rebord de la fenêtre.
Comme il s'en doutait, ceci était un piège. S'étant opposé au Roi Sorcier lui-même, Grandis s'attendait à des représailles. Deux autres gardes armés de redoutables arbalètes à répétition attendaient dans la pièce. Osion sourit intérieurement. Si le seigneur elfe pense que deux guerriers sont capables de stopper un assassin dans sa mission et bien il se trompe.
Franchissant la fenêtre rapidement, les gardes furent surpris par la vitesse de l'attaque. Ils levèrent leurs arbalètes pour viser l'assassin mais il était déjà trop tard pour eux. Chacun sentit une légère douleur dans leur main. Une dague enduite de venin noir y était plantée. Ils n'avaient rien vu. La cape de l'assassin masquait ses mouvements, ce poison parmi le plus puissant de l'arsenal faisait déjà son effet et en un éclair le corps des gardes blanchirent et tombèrent doucement.
Osion s'en voulait de s'être fait surprendre mais se réjouissait d'avoir contré la garde du seigneur. L'alerte ne fut donc pas sonnée. L'assassin passa la porte et se trouva dans un couloir. Au bout de celui-ci se trouvait la chambre du traître. Il décida de ne pas s'attarder et de conclure au plus vite sa mission. Osion avança d'un pas ferme mais léger en direction la pièce. Soudain la porte s'ouvrit, un esclave humain, sûrement le valet de chambre de Grandis, sortit de la chambre. Il eût juste le temps de se retourner et de voir le regard froid de l'assassin qui lui plantait déjà sa dague venimeuse dans le ventre.
"Ton calvaire prend fin" lui dit Osion.
Le serviteur resta bouche bée et son corps retenu par l'assassin s'effondra sur le sol.
On entendit une voix s'élever de la chambre, Grandis exigea qu'on ne le dérange plus durant sa nuit de sommeil.
Osion se précipita dans la chambre et fondit vers le lit.
"Toi non plus, tu ne dérangera plus personne Grandis". Le seigneur n'eut pas le temps de bouger.
L'assassin fit demi-tour et sortit de la demeure par le chemin qu'il avait déjà emprunté . Il fut satisfait de cette fructueuse soirée.
Les gardes restant ne retrouvèrent le corps de leur maître Grandis que le lendemain matin. Ce dernier avait une dague de lancer plantée entre les deux yeux. Une expression d'horreur restait sur son visage, son corps gonflé à cause du poison explosa lorsqu'un garde le toucha.
Désormais chacun est fixé sur le sort qu'il advient à ceux qui osent s'opposer a Yeurl."


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Celle d'Yves :

Oyez, oyez braves gens, gentes dames et beaux messires, Venez écouter le récit le plus extraordinaire jamais conté sur terre : L’histoire d’Edouard, le chevalier paysan.

« En l’an de grâce 1544, en notre beau royaume de Bretonnie naquit Edouard dont le père était prévôt du duché de Parravon. A l’âge de 13 ans, il fût accueilli dans le régiment nommé « le régiment de la dame bleu » en l’honneur de la dame du lac qui apparût à Gille le Breton juste avant que ses compagnons et lui même ne partent en guerre contre les peaux-vertes. Rapidement, il apprit à manier l’hallebarde aussi bien que l’épée. A la mort de son père deux ans plus tard, ses compagnons le désignèrent prévôt à l’unanimité. Depuis lors, il était à la tête d’un régiment de 50 hommes d’arme. Lors d’une escarmouche avec d’autres gobelins, il décapita le chamane ennemi. Le jour même, le duc le promût écuyer monté tout en conservant le commandement de son régiment. Etre écuyer monté était le grade le plus haut que puisse atteindre un homme issu d’une famille de paysans. Mais les prières quotidiennes qu’adressait Edouard à la dame du lac portèrent leurs fruits.

A l’âge de 19 ans, à la saint Jean, Edouard braconnait sur les terres du duc. Au moment où il attrapa un lièvre, un cri fendit l’air. Ce cri n’était pas humain. Plein de curiosité, il s’approcha. Quand il vit la bête, son sang se glaça. Un troll attaquait un convoi où semblait se trouver que de riches dames. Elles étaient sans défense face à ce monstre de 9 pieds de haut. Edouard n’hésita pas un instant, rêvant de ces légendes de paysans recevant 20 pièces d’argent suite à des actes héroïques. Il prît son arc et visa. La flèche ricochât sur l’armure légère que portait le troll. Il en prit une seconde, la tira pendant que le troll se retournait pour voir d’où était partie la première. Celui-ci fut atteint mais Edouard savait qu’il fallait plus d’une flèche pour abattre un troll. Il sonna de son cor en espérant que ses hommes d’arme l’entendraient. Il savait qu’il était loin, mais courut poursuivi par le troll. Ce n’est pas difficile de devancer un troll mais Edouard s’arrêtait de temps en temps pour que le troll ne retourne pas chercher querelle au convoi. A moins d’une lieue de la caserne, il s’arrêta et sonna de son cor. Les hommes d’armes accoururent et abattirent le troll épuisé.

Le lendemain, Edouard vit arriver devant chez lui le fer de lance des chevaliers errants. Il les suivit avec Mousillon, son percheron. Arrivé au château, il fut présenté au duc, et rentra dans la grande salle. Ils étaient tous là. L’actuel maitre-archet, les chevaliers du royaume, Arthur le chevalier du graal qui protégeait la chapelle de la forêt de Châlon, le duc arborant son écu de sable au pégase d’or et la cour. Le duc commença « En vertu des pouvoirs qui me sont conférés, je te nomme, Edouard, chevalier errant. Tu recevras 2O portions de terrain, un salaire de 1O pièces d’argent et je te fournirais ton équipement car tu viens de sauver ma fille. Tu prononceras ton serment demain. » Edouard fut et est toujours un des seuls quatre paysans à être devenu chevalier. Le lendemain, le duc organisa une cérémonie et Edouard commença à réciter le texte qu’il avait apprit.

…Lorsque les ennemies attaqueront mes terres
De mon seigneur et de notre roi.
Tant que je vivrais,
Les terres des bretonniens
Seront préservé du malheur.

Pour l’honneur de la chevalerie, notre roi, et la dame
« Les chevaliers errant rayonnent d’arrogance, traitant les paysans et même les autres chevaliers avec dédain. Désireux de prouver leur talent, ils chargent lors des batailles au cœur de l’armée ennemie sans se soucier du danger, se couvrant d’honneur ou connaissant une mort glorieuse. » Ainsi avait décrit le vénérable Hieronymous de Nuln à sa majesté impérial Karl-franz I. Il n’avait pas tort et Edouard était l’archétype du chevalier errant. A l’âge de 25 ans, il participa a la bataille de la « colline rouge ».Edouard était dans le fer de lance qui devait charger le plus gros régiment nain. Les chevaliers chargèrent. Edouard était en première ligne. Au bout d’une demi-heure de combats acharnés, il se retrouva sans adversaire à sa portée. Il fit cabrer son cheval et s’écriât au dessus du tumulte environnant « Pour Parravon, la dame et le roi ». La bataille venait de finir. Le roi, dès lors le nomma chevalier du royaume. Il lui donna des terres, un château et un village.
Le lendemain, Edouard renouvela ses vœux.

A 28 ans, il épousa Blanche de Quenelles et eut 2 fils. Durant le reste de sa vie, il participa à de nombreuses batailles et gouvernait ses terres avec justice. Depuis son mariage, il s’était calmé et n’allait plus à la guerre avec tant de fougue.

Mais l’âge vénérable de 50 ans approchait. Plus les jours passaient, plus la mélancolie l’envahissait. Il était vieux et la dame ne l’avait toujours pas appelé à la quête. Le jour, où Marc surnommé le pois chiche, fils du duc partit en quête, Edouard décida de partir aussi. Il savait que tenter cette aventure sans l’appel était mal vu par la société, mais personne ne saurait. Avant de partir, Edouard organisa une fête dans la pure tradition de la chevalerie. Il promit de revenir un mois plus tard pour le tournoi du « pégase d’or » et après avoir revêtu son armure récita le serment d’usage.

…Je dépose ma lance, symbole de ma richesse,
Je quitte ma femme, mes fils
Je laisse tout et je ne toucherais rien
Hormis les outils de ma quête
Aucun ennemi, aucune tentation
Ne me feront arrêter ma quête
Je ne dormirais jamais deux fois au même lieu
Je me donne cœur, corps et âme
A la Dame que je cherche
Et au graal…

La quête commençait mal. Oui il avait aidée Baudouin campeador à la bataille de la bannière brûlée, Oui il avait combattu des trolls, des gobelins, des skinks… mais aucune demoiselle du lac ne lui avait donnée sa bénédiction. Un mois plus tard, il rentra chez lui pour le tournoi. Pour lui, une foule joyeuse et colorée était rassemblée sur la place et tous l’accueillaient les bras ouverts, lorsque le chevalier de sinople apparut, hostile et sombre. Le chevalier de sinople est, comme vous le savez, le champion de la dame du lac et le protecteur des lieux sacrée de Bretonnie. Il se manifeste quand la Bretonnie est menacé par ceux dont le cœur est impur. Lames et flèches le traversent comme si il était fait de brume. Parfois il apparaît pour mener les chevaliers de la quête, à la dame. Mais il ne semblait pas être venu pour ça, il retira son gant et le jeta à Edouard. Ceci était une insulte terrible pour un chevalier. Edouard sortit son épée et chargea, le chevalier vert esquivât et toucha Edouard. Mais l’armure de celui ci amortit le coup. La colère l’envahit, et il frappa le heaume vert de toutes ses forces. L’épée fendit l’air mais ne toucha rien. Le chevalier de sinople avait disparut. Edouard pensa avoir gagné mais une douleur lui traversa le dos. Le chevalier s’était volatilisé pour réapparaître derrière. Il tomba de cheval et expira "

Quand l'orgueil chemine devant, honte et dommages suivent de près.

Celle de Furial :

On était sûrement en hiver, sans doûte ne devait-il même n'y avoir que des hivers pour les pitoyables esclavesque l'on voyait. On trouvait des nains, des hommes, des lézards, des Elfes, des gobelins et des orques. Tous étaient vêtus de presque rien dans ce froid glacialet attachés par de lourdes chaînes qui entravaient leurs poignets et leurs jambes. Ils semblaient vidés de toute substance serpantant, les uns derrière les autres, à pas lents et irréguliers, le visage hagard, les yeux vides, sans une étincelle de vie. Tout de leur silhouette signifiait la souffrance, rien que la souffrance et un labeur exténuant, un labeur mortel. Ils chemainaient dans une longue queue partant d'un énorme bâtiment, sans doûte un entrepôt. La file traversait une étendue blanche et arrivait à une forêt où de nombreuses ramifications se faisait, chacune vers un arbre abatu. On entrevoyait quelques formes noires qui devaient être les grades. Ces formesse détachaient de la neige si blanche, si pure, si envoutante, si froide, si assassine : ici un homme, bleus de froid, étendu inerte, là un lézard qui semblait là depuis longtemps et dont les écailles se détachaient, un peu plus loin, un Elfe baignant dans une mare de sang, un carreau d'arbalète fiché dans la poitrine. Un charognard, attiré par l'odeur du liquide pourpre, becqetait les orbites désormais vides de la pauvre créature inanimée. Lorsque les êtres asservis atteignaient la forêt, ils se diriogeaient vers un arbre, ramassaient deux sortes de paniers emplis de bûches débitées par des ogres munis de lourdes scies, et péniblement repartaint pour faire le chemin inverse. Un silence de mort régnait brisé seulement par le tintement des chaînes, le crissement des pas dans la neige, le bruit sourd provoqué par l'écroulement d'un corps et le dur claquement des fouets. (il y aura une suit bien sûr).


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Celle d'Archicon :

Ce jour-là était jour de fête. Tout le Royaume de Quatre Dragons était en liesse. Les habitants fêtaient le cinquantième anniversaire du Roi, et par la même occasion, ses trente ans de règne.
Dans le château du Roi, chacun s’affairait aux derniers préparatifs de la grande fête qui allait débuter dans quelques heures. Les fantassins écartaient la foule de paysans qui s’amassait autour du Palais, tandis que les hérauts annonçaient l’arrivée des nobles, comtes, archiducs, des riches bourgeois et riches commerçants, des hautes personnalités, tous invités pour cette occasion par le Roi en personne. Une centaine de personnes avaient été invitées avec les membres de leur famille, ce qui signifiait au bas mot plus de deux cent personnes. Toutes allaient se réunir dans la Cour du château, heureusement très vaste. Les servants et servantes, domestiques et valets, serveurs et serveuses, quelque soit le nom qu’on leur donnait, étaient chargés de mettre en place les tables de banquet, les chaises, les bancs, tandis que les cuisiniers préparaient le plus grand festin que le pays n’ait jamais connu.
Les musiciens, arrivés deux jours plus tôt préparaient, avec l’aide d’ouvriers, l’estrade où ils joueraient. Tambours, trompettes, violons, harpes, lyres étaient déjà posés près d’élégants fauteuils recouverts de cuir noir.
La cour était circulaire, entourée d’immenses jardins à la végétation luxuriante, plantés de toutes sortes d’arbres et de buissons. Des fleurs en abondance parfumaient l’air de senteurs douces et subtiles. Des sentiers serpentaient au travers des jardins, laissant entrevoir de ci, de là, au travers des frondaisons, de superbes sculptures en marbre représentant des scènes mythologiques. Le silence n’était troublé que par le doux murmure de l’eau cascadant des fontaines. Au nord de ce jardin et de la cour, se dressait le Palais dont la façade éclatait de blancheur. La porte, ornée de motifs en reliefs représentant des scènes de chasse, était encadrée de deux statues imposantes, représentant des Héros de l’Epoque Ancienne. L’un, vêtu d’une cotte de mailles sur laquelle se détachait un pendentif, portait une épée à la ceinture et tenait un javelot et un bouclier rectangulaire. L’autre, revêtu d’une armure, tenait son épée fermement à deux mains. Les deux Héros portaient un heaume, l’un en forme d’Aigle, l’autre en forme de Chacal.
La fête ne devait commencer que dans quelques heures. Mais déjà, une foule d’invités se pressait dans la cour. De petits groupes s’étaient formés, devisant aimablement. Quelques généraux avaient été invités, des amiraux également. Mais ils étaient peu nombreux au milieu de cette somptueuse foule, composée des plus hauts personnages du Royaume.
Les hommes comme les femmes avaient revêtu leurs plus beaux atours, des vêtements de velours et de soie, des capes joliment brodées d’or. Les coiffures rivalisaient d’ingéniosité. Un maquillage raffiné mettait en valeur les yeux, les joues et la bouche des femmes. Elles portaient leurs plus précieux bijoux, bagues, colliers, diadèmes. Des robes moulantes, épousant parfaitement les rondeurs, mettaient en valeur le corps des plus belles et des plus jeunes d’entre elles. Les hommes, quant à eux, arboraient fièrement leur épée et leur blason. Tous souriaient, plus ou moins poliment, selon leur humeur, mais plus souvent à cause de leur divergence politique.
Les bannières des grands personnages, suspendues entre les arbres la bordant, flottaient tout au long de l’avenue principale aux dalles polies qui menait au Palais. Là, la foule se pressait, compacte, contenue par une barrière en bois et contrôlée par des hallebardiers en armures noires et argentées. L’élégante artère très commerçante, où se succédaient bijouteries, armureries, boutiques de vêtements, magasins de meubles, banques, hôtels, casinos, antiquaires et marchands d’arts, … était également bordée de quelques richissimes villas réservées aux personnages les plus influents. On y trouvait aussi les plus éminentes maisons de Magies, les plus grandes bibliothèques, les collèges les plus cotés et les universités les plus prestigieuses.
Une lueur malicieuse dans le regard, le Roi, du haut de son balcon, quatre étages au-dessus de la Cour, regardait l’avenue avec fierté. Pas besoin de sa longue-vue posée près de lui pour voir que la plupart des habitants étaient ravis. Il entendait les cris de joie et les clameurs et cela lui suffisait amplement. A vrai dire, il n’avait pas très envie de descendre discuter avec les invités, pas plus qu’il n’avait envie de faire la fête, mais cela faisait partie de ses obligations. Sa femme et ses filles avaient insisté pour que cette fête soit la plus merveilleuse possible. Il n’avait pas l’intention de les peiner en refusant d’y participer. Mais que personne n’exige de lui un long discours ! Il n’en était pas question ! Le Roi se mordit la langue. Un terrible pressentiment l’envahit et un frisson glacial lui parcourut l’échine. Il se détourna du panorama et rentra dans sa chambre. Sur le lit, sa femme allongée sur le flanc et reposant sur un coude, le regardait tendrement. Elle était déjà prête, il ne lui restait plus qu’à se coiffer et à mettre ses bijoux. Ulysse réprima son désir de se jeter sur elle, mais il se contint et se dirigea vers un grand miroir rectangulaire au cadre doré, sculpté de motifs végétaux entrelacés. Il se regarda un instant. Ses cheveux blancs tombaient sur ses épaules. Une barbe parfaitement bien coupée encadrait son visage. Il n’avait guère de rides. Pourtant, ses yeux bleus trahissaient une certaine lassitude. Il les frotta puis se détourna du miroir pour se diriger vers une armoire qu’il ouvrit.
Il hésita quelques instants avant de choisir ses vêtements. Il opta enfin pour une chemise blanche, un pantalon en velours noir et recouvrit le tout d’une tunique rouge. Puis il passa une ceinture et enfin, prit son épée qu’il rangea dans son fourreau à la hanche gauche. Il retourna près du miroir, se regarda et se dit qu’il ne ferait pas plus d’efforts. C’était largement suffisant !
- Parfait, susurra la voix de sa femme dans son dos.
Le Roi sourit puis se tourna vers elle. Elle s’était levée. Sa longue robe verte moulait sensuellement ses formes. Elle aimait bien jouer à ce jeu de séduction avec les hommes, sans pour autant leur offrir quoique ce soit en échange. Ses longs cheveux blonds, remontés en chignon orné d’un diadème, laissaient échapper quelques mèches sur sa nuque. Une ceinture en or, ornée de rubis, diamants et saphirs soulignait agréablement sa taille. Elle portait également un magnifique collier de perles à trois rangs, plusieurs bracelets en or et, en plus de son alliance, trois bagues enchâssées de diamants.
- Il ne faut pas trop m’en demander, grommela le Roi en lissant sa tunique.
Sa femme hocha la tête.
-Effectivement, mais il faut faire bonne impression sur le peuple, mon Seigneur…
Elle avait couvert ses lèvres d’un rouge très voyant et maquillé ses paupières d’un violet dégradé. Ses yeux, d’un vert profond assortis à sa robe, brillaient sous de longs cils sauvagement recourbés. Elle était tout simplement sublime. Une fois de plus, les invités allaient la jalouser… les hommes aussi bien que les femmes.
-Daphné et Févriel sont-elles prêtes ? Demanda Ulysse.
Son épouse haussa les épaules et regarda le Roi droit dans les yeux.
-Aucune idée…elles non plus n’aiment pas trop se montrer…surtout Daphné…mais…encore une fois, elles auront bon nombre de soupirants…qui se feront éconduire.
- Pour ne pas changer, soupira Ulysse. Il faudra tout de même qu’elles trouvent un mari ! Ce ne sont pourtant pas les hommes qui manquent ici !
-Tu sais bien que Daphné est trop timide pour se trouver un amant…Quant à Févriel…et bien, c’est une mangeuse d’hommes invétérée mais elle n’a jamais trouvé chaussure à son pied !
-Quelle comparaison, fit narquoisement le Roi. Tu compares les hommes à des chaussures ? Je serais donc une chaussure ?…
Il fit semblant d’être perplexe. Sa femme émit un petit rire, puis se dirigea vers lui. Elle lui caressa amoureusement le visage avant de l’embrasser.
-Peut-être pas tous, je dois reconnaître, murmura t-elle sensuellement.

A quelques mètres de là, d’autres personnes vaquaient à leurs occupations. La fille du Roi était entourée d’une dizaine de domestiques qui s’affairaient dans sa chambre, lui présentant diverses robes de toutes les couleurs, lui proposant des bijoux, des ceintures, des pots de maquillages. Daphné savait qu’elle devait se préparer pour la fête. Mais elle ne se pressait pas car cette perspective ne l’enchantait guère, contrairement à sa sœur. En réalité, cette dernière n’était pas plus pressée qu’elle de participer à la liesse. La seule chose qui l’intéressait était de trouver un ou plusieurs amants d’une nuit. Là où Févriel avait de l’expérience, Daphné n’était encore qu’une jeune pucelle.
Une lueur triste dans ses yeux verts aux reflets mordorés, elle choisit une robe rouge qu’elle enfila. Elle se regarda dans le miroir : elle tressaillit en voyant que la robe particulièrement moulante épousait ses formes à merveille. Elle pinça ses lèvres fines et sensuelles mais, finalement, décida qu’elle la garderait. Elle n’avait pas envie d’en chercher une autre. Elle fit, de la tête, un signe d’assentiment à sa domestique et meilleure amie. Aussitôt, la servante apporta une ceinture en or et la passa autour de la taille de la princesse, avant de la boucler. Puis elle apporta dans un coffret deux boucles d’oreilles en or que Daphné enfila avec délicatesse. Pendant ce temps, une servante lissait dans son dos, les longs cheveux plus dorés que blonds de la jeune femme, étincelants sous la lumière des lampes et des lustres. Ils ondulaient jusqu’à ses reins, mais, dans sa modestie, n’en tirait aucune fierté. Une troisième domestique s’approcha des pots, mais une main ferme l’empêcha d’en prendre un. Surprise, elle tourna la tête vers sa maîtresse. Mais le sourire de Daphné la rassura.
-Je ne me maquillerai pas…
-Bien, Majesté, répliqua la servante en battant en retraite.
Daphné sourit alors que sa meilleure amie congédiait la coiffeuse. Dans le reflet de son miroir, elle vit son amie sourire par-dessus son épaule.
-Vous avez raison, Majesté, même sans maquillage, vous êtes magnifique.
-Merci Aliénor… veux-tu choisir les bijoux, s’il te plaît ?
Aliénor inclina légèrement la tête et se tourna vers une commode. D’un tiroir, elle sortit plusieurs coffrets dont elle retira la partie supérieure. Elle examina les joyaux, hésita quelques instants puis apporta plusieurs bagues et bracelets à Daphné qui les enfila distraitement. Enfin, la domestique lui apporta un collier de perles et un diadème couvert de diamants dont elle ceignit le front de la princesse. Celle-ci se regarda longuement et pensivement dans le miroir. Puis, elle se leva de sa chaise et, se détournant du miroir ovale, fit face à son amie.
-Magnifique, vous allez encore faire des envieux…pensez à trouver un compagnon ce soir…
-Févriel en trouvera certainement…moi, je ne suis pas prête.
Et pas pressée, ajouta-elle mentalement.
-Vous n’êtes pas sûre de vous, princesse.
La princesse haussa les épaules.
-Allons voir où en est ma sœur.
Aliénor hocha la tête et suivit sa maîtresse dans les couloirs du Palais, jusqu’à la porte de la chambre de Févriel. Daphné toqua plusieurs fois avant qu’une servante ne daigne ouvrir, et fasse entrer les deux compagnes. Elle les conduisit jusqu’à la chambre de Févriel.
Celle-ci était en train d’enfiler un collier. Daphné en profita pour regarder la robe bleue aussi moulante que la sienne, les longs cheveux roux attachés en chignon, les boucles d’oreilles en argent et la ceinture en or de sa sœur. Quand elle eut fini, Févriel se tourna vers Daphné, un large sourire aux lèvres.
-Le jour rêvé pour dénicher des amants en pagaille, annonça t-elle.
Ses yeux bleus se fixèrent sur ceux de Daphné qui soutint son regard dans un haussement d’épaules.
-Tu fais ce que tu veux…Bon, et si nous allions voir où en sont nos chers parents… ?
Févriel hocha la tête et Daphné prit congé d’Aliénor. Les deux sœurs se dirigèrent vers la chambre de leurs parents

Pourquoi mon histoire n'est pas en entier
Ca sert a rien que je fasse ch*** a faire une bataille entiere si seul le début est affiché
Sinon j'ai voté Furial
Mais sinon Arghaab,sans ton probleme d'ordi tu aurais voté pour qui???

Citation :

Pourquoi mon histoire n'est pas en entier

Excuse, je n'avais pas vu la suite ! J'édite tout de suite !

Argaahb aurait voté pour Yves normalement.

moi je préfère la tienne Yeurl......

Quand se termine le vote ?

Quand tout le monde à voté, dans une semaine je pense.
1er : Yve
Moi, Paka et Furial sommes à équalités.

POURQUOI TU MET UN C AVANT LE K QUAND TU ECRIT PAKACUTI??????
AAARRRGGGHHHH!!!!!!

Pakacuti a écrit:

POURQUOI TU MET UN C AVANT LE K QUAND TU ECRIT PAKACUTI??????
AAARRRGGGHHHH!!!!!!

et faudrait retirer le s de Yve (c'est le pseudo, pas le prénom).

Bon ce n'est pas grave. La Dame te pardonnera surement

Il a raison c'est pas bien d'ecorché les pseudo pas vrai gleurl^^???

Citation :

POURQUOI TU MET UN C AVANT LE K QUAND TU ECRIT PAKACUTI??????
AAARRRGGGHHHH!!!!!!

Citation :

et faudrait retirer le s de Yve (c'est le pseudo, pas le prénom).

Une rébéllion !! Sérieusement je suis désolé, je rectifie ça tout de suite ! Mais aussi c'est quoi cette manie de choisir des pseudos comme ça hein ?

Amicalement Gleurl ...^^

Euh, la mienne, je crois qu'on pourrait la retirer, vous avez à peine le début... Je vote PaCaKuti.

Citation :

Euh, la mienne, je crois qu'on pourrait la retirer

C'est un peu tard pour le dire ...

Donc PaCaKuti peut maintenant prétendre à la victoire ...

Ce n'est pas grave.

Citation :

Ce n'est pas grave.

Ton avis ne change hélas pas beaucoup le fait que tu participes au concours ...
Meme que le fait qu'on soit admins de peut pas changer le fait.

C'est dommage que tu n'ai pas eu le temps d'écrire une suite
Parce que c'etait bien écrit
Mais je ne pense pas que les saurus puisse etre des esclaves : ils ne savent rien faire a part ce battre mais bon je te pardonne pour cette (peut etre)erreur

Les Elfes Noirs ont un système d'éducation ludique (à n'en point doûter!) très efficace. Mais je vous promets une suite si le début vous plaît.

Je crois que le vote est fini....
Qui est l'heureux gagnant????

Alors le problème c'est que je suis à équalité avec Yves ...
Je vais donc faire un 2e tour de scrutin, la finale en quelques sortes !
Allez donc voter dans le 2e topic !